L'Autorité des marchés financiers a ouvert une enquête sur le titre Natixis, en lien avec l'annonce des 260 millions d'euros de perte en Asie fin 2018. Nouvel écueil pour Natixis. Selon nos informations, l'Autorité des marchés financiers (AMF) enquête depuis cet été sur le titre Natixis et sur la manière dont la banque a communiqué à l'occasion des pertes de 260 millions d'euros subies en Asie fin 2018, qui avaient à l'époque fait décrocher l'action. Le régulateur a interrogé des salariés de Natixis et effectué des visites au siège de la banque. Rien ne dit si cette enquête, qui peut durer plusieurs mois, aboutira à des sanctions de la part du gendarme boursier. Interrogée par « Les Echos », la direction du groupe BPCE estime que ce genre d'enquêtes est fréquente en cas d'avertissement sur résultat et que l'action n'a pas connu de mouvements suspects en Bourse avant son information aux marchés. Les enquêteurs s'intéressent à l'information délivrée aux marchés à cette époque. La banque d'investissement du groupe BPCE avait signifié le 18 décembre 2018 aux investisseurs avoir eu un accident sur des produits de couverture dans des dérivés actions sur les marchés asiatiques. Le gendarme boursier examine par ailleurs l'alerte donnée par un ancien employé, qui pointe du doigt une transaction réalisée en novembre 2018 par un dirigeant de Natixis, peu de temps avant l'annonce de la perte en Asie. Le directeur des risques de Natixis, Pierre Debray, a en effet cédé 32.292 actions au prix de 5,1270 euros, soit un montant de 165.561 euros le 14 novembre 2018. Ancien salarié Ce salarié, en contentieux avec son ex-employeur, interroge le niveau d'information privilégiée ou non, dont disposait le dirigeant. Pour la banque, dont l'inspection générale a mené une enquête interne, l'accusation est sans fondement. « Les ventes de titres par les dirigeants de Natixis sont strictement encadrées, déclarait-elle en février. Cette vente a respecté précisément les règles et les procédures en vigueur et a été réalisée en toute transparence avec l'AMF. » L'enquête du gendarme boursier intervient quatre mois après les déboires de son fonds affilié H2O. Fin septembre, la filiale des Banques Populaires et des Caisses d'Epargne a écopé de 3 millions d'euros d'amende dans le cadre de ses activités de gestion d'actifs pour avoir notamment « méconnu l'obligation d'agir de manière honnête, loyale et professionnelle dans l'intérêt des porteurs ». En juillet 2017, Natixis AM avait également été sanctionnée à hauteur de 35 millions d'euros - un record - pour avoir « manqué à ses obligations professionnelles dans la gestion des fonds à formule entre 2012 et 2015 ». La banque avait fait appel devant le Conseil d'Etat.
L'Autorité des marchés financiers a ouvert une enquête sur le titre Natixis, en lien avec l'annonce des 260 millions d'euros de perte en Asie fin 2018. Nouvel écueil pour Natixis. Selon nos informations, l'Autorité des marchés financiers (AMF) enquête depuis cet été sur le titre Natixis et sur la manière dont la banque a communiqué à l'occasion des pertes de 260 millions d'euros subies en Asie fin 2018, qui avaient à l'époque fait décrocher l'action. Le régulateur a interrogé des salariés de Natixis et effectué des visites au siège de la banque. Rien ne dit si cette enquête, qui peut durer plusieurs mois, aboutira à des sankcje de la part du żandarm boursier. Interrogée par «Les Echos», la Direction du groupe BPCE estime que ce gatunek d'enquêtes est fréquente en cas d'avertissement sur résultat et que l'action n'a pas connu de mouvements podejrzanych en Bourse avant son information aux marchés. Les enquêteurs s'intéressent à l'information délivrée aux marchés à cette époque. La banque d'investissement du groupe BPCE avait signifié le 18 décembre 2018 aux Investisseurs avoir eu un wypadek sur des produits de couverture dans des dérivésactions sur les marchés asiatiques.Le żandarm boursier zbadać par ailleurs l'alerte donnée par un ancien Employment, qui pointe du doigt une transakcja réalisée en novembre 2018 par un dirigeant de Natixis, peu de temps avant l'annonce de la perte en Asie. Le directeur des risques de Natixis, Pierre Debray, a en effet cédé 32.292 Actions au prix de 51270 euro, soit un montant de 165.561 euro on 14 novembre 2018. Ancien salarié Ce salarié, en contentieux avec son ex-employeur, interroge le niveau d'information privilégiée ou non, dont disposait le dirigeant. Pour la banque, dont l'inspection générale a mené une enquête interne, l'accusation est sans fondement. « Les ventes de titres par les dirigeants de Natixis sont strictement encadrées, déclarait-elle en février. Cette vente a respekté précisément les règles et les procédures en vigueur et a été réalisée en toute transparence avec l'AMF. » L'enquête du gendarme boursier intervient quatre mois après les déboires de son fonds affilié H2O.Fin septembre, la filiale des Banques Populaires et des Caisses d'Epargne a écopé de 3 millions d'euros d'amende dans le cadre de ses activités de gestion d'actifs pour avoir notamment «méconnu l'obligation d'agir de manière honnête , lojalista i profesionnelle dans l'intérêt des porteurs ». W lipcu 2017 r. Natixis AM avait également été sankcjnée à hauteur de 35millions d'euros - un record - pour avoir «manqué à ses zobowiązania professionalnelles dans la gestion des fonds à formule entre 2012 et 2015 ». La banque avait fait appel devant le Conseil d'Etat.
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